Le 24 novembre dernier au Sénat, experts, enseignants et élèves ont échangé sur le thème du grand oral lors du petit déjeuner débat organisé par l’Apel. L’association a également présenté les résultats d’un sondage sur le sujet, qui montrent l’unanimité des parents d’élèves sur l’importance de la compétence orale.
Lire plusPuisqu’au vu de la situation épidémique actuelle, la bonne tenue des épreuves de fin d’année ne peut être garantie ni en termes sanitaires ni logistiques dans le calendrier initial, le bac et le brevet vont être annulés.
Seul l’oral de français de 1ère, une épreuve préparée depuis le début de l’année, sera maintenu dans une version néanmoins allégée.
Pour tout savoir sur les modalités du contrôle continu ainsi que les autres épreuves de fin d’années, y compris en lycée professionnel et BTS, consultez ici la note de synthèse élaborée par le Sgec à partir de la Foire aux questions ministérielle.
A situation inédite, aménagements inédits. Les épreuves d’examen 2020 du bac et du brevet auront bien lieu, mais « uniquement sur la base d’un contrôle continu », a confirmé le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer le vendredi 3 avril dans une conférence de presse. Ce contrôle continu se basera sur les moyennes annuelles sans toutefois comptabiliser les notes obtenues durant la période de confinement.
Seuls les oraux du bac de français de 1ères seraient en revanche maintenus.
Alors que les choix de spécialités effectués l’an dernier par les élèves en sortie de seconde, dessinent le visage du nouveau lycée, la réforme se poursuit. Cette année, les élèves de 1ère inaugurent le contrôle continu introduit dans le nouveau baccalauréat.
Lire plusL’Enseignement catholique redéploie des moyens pour que les petits établissements puissent, si telle est la demande des élèves, offrir une large palette d’enseignements de spécialité, ces « majeures » au cœur de la réforme du lycée. Par ailleurs Pascal Balmand en appelle à ne surtout pas recomposer des filières tacites, ce qui pervertirait l’esprit de la réforme.
Lire plusPierre Mathiot, auteur du rapport qui a préfiguré la réforme du lycée, donne son éclairage sur sa mise en œuvre dans une interview vidéo accordée à RenaSup.
Il évoque notamment l’évolution de l’accompagnement à l’orientation qui suppose une implication accrue des enseignants, le choix des spécialités en seconde, le recours à des dispositifs de formation à distance pour les plus rares d’entre elles et l’oral du bac.
Le 23 novembre prochain, la direction diocésaine et l’antenne territoriale RenaSup d’Ille-et-Vilaine organisent un forum des études supérieures à destination des enseignants du lycée . Le but : actualiser leurs connaissances sur les attendus de l’enseignement supérieur et être davantage en capacité d’accompagner les lycéens dans leur orientation.
Lire plusÀ l’occasion d’un petit déjeuner organisé à l’Assemblée nationale et consacré au bac 2021, le Snceel a dit tout le bien qu’il pensait de la réforme du lycée, sous réserve que les enseignants soient formés à l’orientation et l’autonomie des établissements respectée. L’organisation professionnelle propose d’ailleurs une série de formation pour accompagner ses adhérents dans la mise en oeuvre du nouveau lycée.
Lire plusDans un paysage de réformes, le Pôle lycée du département Éducation du Sgec a croisé son expertise avec celle d’autres acteurs de l’enseignement catholique pour proposer, dans un document synthétique, des pistes pour avancer, dans une forme d’autonomie concertée, sur le pilotage de la réforme du Baccalauréat.
Ce document qui ne cesse de s’enrichir depuis le printemps dernier propose, en cette rentrée, un mémento dédié à la réforme du lycée. il est dédié à l’accompagnement des acteurs de la communauté éducative, au sein des établissements mais aussi en réseau.
La réforme du lycée était le thème des Assises du Synadic le 27 septembre dernier à Issy-les-Moulineaux. Des chefs d’établissement y ont témoigné de ce qu’ils avaient déjà mis en place pour l’anticiper.
Lire plusFort de 2 099 890 élèves répartis dans ses 7 600 établissements, et de son poids dans le paysage éducatif français, l’enseignement catholique est conscient de ses responsabilités. C’est le message qu’a voulu faire passer Pascal Balmand, le secrétaire général de l’enseignement catholique dans sa conférence de presse de rentrée, le jeudi 4 octobre 2018. Dans un contexte complexifié par les suppressions de postes annoncées et la mise en œuvre de la réforme du lycée, il entend plus que jamais participer au service public d’éducation, notamment auprès des publics les plus fragiles, en proposant une école différente et non parallèle.
Lire plusChronique du mercredi 19 septembre 2018- 12h34- Jean-Marc Petit, délégué général de RenaSup, au micro de Romain Mazenod.
Lire plusAlors que les futurs bacheliers ont finalisé leurs dossiers sur la nouvelle plateforme d’orientation vers le supérieur, les établissements commencent à examiner les candidatures reçues. Pour partager les tendances qui se dessinent et les questionnements qu’elles amènent, RenaSup, réseau des établissements catholiques proposant du post-bac lance des forums de discussions et des Webinaires.
Lire plusJean-Michel Blanquer ministre de l’Éducation mène, ce mois de mars 2018, une vaste consultation en vue de formaliser la réforme de la voie professionnelle, suite aux orientations dessinées par le rapport Calvez-Marcon, publié le 22 février. Objectif : une mise en œuvre en seconde pour la rentrée 2019 avec, en ligne de mire, un bac pro rénové en 2022.
Lire plusDécloisonner les filières et disciplines pour mieux articuler le bac et le lycée à l’enseignement supérieur… La réforme présentée par le ministère de l’Education le 14 février rejoint, sur bien des points, ce que préconise l’enseignement catholique de longue date. La réussite de sa mise en œuvre reste conditionnée à la marge d’autonomie qui sera laissée aux établissements, analyse Pascal Balmand, secrétaire général de l’enseignement catholique.
Lire plusChronique du mercredi 10 janvier 2018 -12h50 – Jean-Marc Petit, délégué général de Renasup.
Lire plusÀ l’issue du 1er tour de la procédure APB, le 9 juin 2017, le nombre de jeunes se retrouvant sur liste d’attente, y compris sur leur vœu dit de sécurité, est en nette hausse tandis que les filières universitaires recourant au tirage au sort ont doublé. Publiés peu avant les épreuves du bac, ces résultats inquiétants et démotivants, ont incité RenaSup à faire part de sa préoccupation et à interroger le ministère sur la manière dont il comptait agir afin qu’aucun futur étudiant ne reste sans solution.
Lire plusDans un courrier adressé à la ministre de l’Éducation le 9 mars dernier, Pascal Balmand s’alarme de la nouvelle procédure des vœux groupés d’Admission Post Bac et déplore l’absence de concertation préalable.
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