Trois questions à : Philippe Delorme

©B. Lévy

Que représente le 11 janvier dans cette démarche prospective?

Philippe Delorme: Les rencontres régionales ont permis de comprendre et percevoir les attentes du terrain, il est nécessaire aujourd’hui de passer à une phase plus opérationnelle et nationale, qui n’est pas celle du SGEC mais de tous les acteurs de l’enseignement catholique. Cela va nous permettre de faire face aux défis qui nous attendent.

Qui peut participer à cette journée ?

Philippe Delorme: Tous les acteurs de l’enseignement ! Nous encourageons une diversité de profil, qu’il s’agisse d’enseignants, de parents d’élèves, de personnels administratifs, d’étudiants, d’élèves… Tous ont leur place dans cette journée et surtout pour la suite pour accompagner et travailler sur les projets. Les journées régionales ont suscité un désir, il est temps de le concrétiser. Une opération qui nécessite l’implication de tous, même ceux qui ne seront pas présents le 11 janvier. Les évolutions de l’enseignement catholique ne pourront se faire pleinement que si tous les acteurs se sentent concernés

Les délégations doivent-elles venir avec un projet ?

Philippe Delorme: Pour la réussite de cette journée, il est nécessaire que les participants aient pu réfléchir aux engagements qu’ils seront amenés à prendre par la suite. Au niveau de chaque territoire, des innovations seront prise dans tous les domaines. Des expérimentations qui pourront ensuite être généralisés aux bénéfices de tous.

 

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