Mis à jour le : 24 octobre 2024 / Publié le : 21 avril 2021

Quid des stocks d’auto-tests? (02/07)

Avec l'arrivée des vacances, le flux des protocoles sanitaires en milieu scolaire marque une pause.
Alors que dans certains établissements, des stocks d’autotests inutilisés demeurent et dans l'attente des décisions ministérielles qui seront prises pour la rentrée, il convient de communiquer l'état des stocks aux responsables académiques.
En cas de stockage en établissement, le Sgec rappelle qu'il convient de les maintenir à une température inférieure à 30°.

Les règles d'éviction des cas contacts sont modifiées dans les classes à examen et les lycéens peuvent désormais réaliser leurs auto-tests à domicile après un temps d'information spécifique.

En attendant des précisions sur l'impact de la fin de l'obligation du port du masque dehors en milieu scolaire, les élèves conservent le masque dans les espaces extérieurs

Le détail de ces nouveautés dans le note n° 33 du Sgec.

Note n° 34

Stocks d'auto-tests

Note n° 33

Nouvelles règles en cas de contamination dans les classes à examen

Mise à disposition des auto-tests pour les lycéens

Promotion de la vaccination

Une nouvelle étape du déconfinement allège les mesures sanitaires en vigueur dans les établissements scolaires.

Les collégiens peuvent tous reprendre en présentiel à partir du lundi 31 mai  tandis que les lycées demeurent en demi-jauge.

Les rassemblements festifs, réunions et portes ouvertes sont réautorisés à partir du 9 juin, dans le respect de règles sanitaires strictes.

Note n° 32

Assouplissement progressif du protocole sanitaire à partir du 31 mai 2021

6 millions d'autotests en cours de livraison dans les établissements de l'enseignement catholique (note 26, 27, 28 )

Les livraisons d'autotests de type prélèvement nasal distribués aux enseignants et aux personnels des établissements en contact avec les élèves, ainsi que d'autotests salivaires à destination des élèves distribués dans les établissements du 1er degré et les collèges.

Dans un second temps ces autotests devraient aussi être distribués aux lycéens pour un usage hebdomadaire.
La Haute autorité de santé a abaissé l'âge limite de leur utilisation en dessous de 15 ans en vue d'une éventuelle extension aux collégiens.

Parallèlement au déploiement des autotests, la vaccination des enseignants de plus de 55 ans se poursuit dans des centres de vaccination dédiés et sera prochainement ouverte aux enseignants de plus de 50 ans enseignant en maternelle et aux élèves en situation de handicap.

CALENDRIER DES LIVRAISONS

Du 6 au 11 mai : livraison des autotests à destination des enseignants du second degré.

En début de semaine du 17 mai (le plus probablement les 17 et 18 mai : livraison des autotests à destination des personnels des établissements du second degré et des lycéens.

cours de la semaine du 17 mai : seconde livraison pour les établissements du premier degré.

Précisions sur la deuxième livraison d'autotests au 12 mai 2021

La deuxième livraison d’autotests est en cours pour l’ensemble des établissements catholiques.

Elle est organisée selon les mêmes règles que les premières livraisons : près de 1500 établissements, identifiés comme tête de canton, sont destinataires de ces livraisons.

Les chefs d'établissement de ces établissements « Tête de canton » se concertent avec les chefs d'établissement de leur canton pour assurer la répartition des stocks fournis entre les établissements concernés.

Les deux fichiers joints vous communiquent les quantités demandées et leurs répartitions, pour les établissements du premier degré et pour les établissements du second degré.

 

Autotests en lycée au 07 mai 2021

Le gouvernement a précisé dans plusieurs documents les conditions d’utilisation des autotests pour les lycéens.
Voici les modalités de réalisation de la campagne de mise à disposition de ces autotests, sous contrôle, dans les lycées.

Certes, l’organisation de ces séances d’autotests sous contrôle constitue une nouvelle charge pour les établissements, nous l’avons d’ailleurs souligné auprès du cabinet du ministre. Nous invitons cependant les chefs d'établissement concernés à y participer avec la volonté de poursuivre la mission que tous nos établissements assument depuis le début de cette crise pour assurer la permanence du service public d’éducation auquel nous sommes associés tout en contribuant à lutter contre l’épidémie.

Pour les départements de l’Allier, des Alpes-de-Haute-Provence, des Hautes-Alpes, des Alpes-Maritimes, de l’Ardèche et de l’Ariège, une livraison spécifique, correspondant à la livraison qui aurait dû intervenir entre le 29 avril et le 4 mai, sera effectué, la semaine prochaine, les 10, 11 ou 12 mai dans les établissements « Tête de canton » concernés.

 

Protocole de réalisation des autotests

Formulaire de consentement

Note 29 du Sgec du 4 mai

Note 29 C du 7 mai

pour les départements ci-contre

Note 30 du 7 mai

Précisions sur le calendrier et la mise en oeuvre en lycée

Livraisons des autotests, principes génériques et 1er degré

Rouverture des établissements au 26 avril puis 3 mai 2021

Pour la réouverture des établissements scolaires, depuis le 26 avril pour le primaire et le 3 mai pour le secondaire, le protocole sanitaire en vigueur depuis février 2021 est renforcé: gestes barrière, aération,  maintien des fermetures de classe au premier cas positif ... 

La retranscription dans certains organes de presse, de l’interview du Président de la République à la presse quotidienne régionale a suscité des interrogations sur les conditions de la reprise des cours en présentiel dans les collèges.

La reprise des enseignements, en collège, se fait bien en présentiel le lundi 3 mai (voir notes 29, 26 et 27 ) pour tous les élèves SAUF dans les collèges situés dans des départements ci-dessous :
Nord, Seine-Saint-Denis, Aisne, Hauts-de-Seine, Oise, Val d'Oise, Yvelines, Val de Marne, Seine-et-Marne, Essonne, Paris, Sarthe, Loire, Rhône, Bouches-du-Rhône
Dans ces 15 départements les élèves de 4ème et 3ème sont accueillis avec un fonctionnement hybride, soit une présence maximale fixée à 50% de l’effectif des niveaux de 3ème et de 4ème. Les élèves des classes de 6ème et 5ème sont quant à eux tous accueillis en présence.

Par ailleurs, l'hybridation des enseignements, déjà en vigueur dans certains lycées, avant le confinement est généralisée en lycée sur tout le territoire.

La règle de la fermeture des classes au premier cas positif demeure sur tout le territoire.

Après un contre-temps, les livraisons de kits d'autotests dans les établissements se poursuivent (note 26 et 27, ci-dessous)

Les épreuves de fin d’année seront maintenues en présentiel, à savoir le brevet et pour le bac, les épreuves écrites de philosophie et le grand oral. Ce sera le cas aussi pour les examens et partiels de juin, ainsi que les concours pour les élèves de CPGE et les examens de BTS.
Les situations particulières seront bien sûr prises en compte et une session de rattrapage (oral) sera notamment organisée début juillet pour les BTS, sur le modèle de ce qui était déjà prévu pour les bacheliers.

Note 29 du Sgec

Sur la reprise en collège le 3 mai

Note 27 du Sgec 

Précisions sur la reprise du 3 mai et les livraisons d'autotests au 29 avril

Note 26 du Sgec 

Demande d'autorisation parentale pour les tests

Modèle de communication en cas de fermeture de classe

Suite au reconfinement général du 3 avril 2020 (note 23 et 24)

Suite aux reconfinements partiels du 20 mars 2021

Suite au reconfinement de 19 départements, vous trouverez ici, au fur et à mesure des précisions ministérielles, l'impact de ces mesures en milieu scolaire sachant que pour l'heure, les écoles et collèges restent ouverts  et les lycées passent en demi-jauge.

Le 26 mars, le ministre Jean-Michel blanquer annonce en conférence de presse qu'en territoires reconfinés, les classes seront fermées pour sept jours à partir d'un cas Covid constaté au lieu de trois précédemment (note 22)

Dans les collèges des départements confines, lorsque la configuration des locaux, et notamment des espaces de restauration, ne permet pas de respecter strictement le protocole sanitaire, une organisation hybride peut être mise en place au cas par cas et après accord des autorités académiques, comme c'est déjà le cas partout en France pour les lycées qui passent eux de manière obligatoire en demi-jauge dans les territoires reconfinés (note 22).

Le ministère de l'Education nationale a publié, en date du 1er février 2021, un Protocole sanitaire renforcé (note n° 16 du Sgec) qui a été depuis régulièrement réactualisé par modifications apportées via la foire aux questions ministérielles. Ces mesures restent en vigueur sur l'ensemble des territoires non confinés.

Les dernières modifications en date  impactent la tenue des réunions en établissement et les mesures à prendre en cas de contamination, instaurant une procédure différenciée selon qu'il s'agit du virus classique ou d'un nouveau variant. Elles ont été réactualisées deux fois début mars 2021 (note 19 du Sgec), notamment pour autoriser la tenue en présentiel des conseils de discipline et pour augmenter les délais d'éviction en cas de contamination (de 7 à 10 jours). Les procédures à tenir en cas de contamination évoluent régulièrement, avec une révision au 10 mars 2021.

Les changements à la foire aux questions depuis début février

Nouveau protocole du 1er février 2021

Les mesures en vigueur depuis la mi-janvier 2021

Suspension des portes ouvertes

Le Ministère de l'Education Nationale vient de modifier la Foire aux Questions publiée sur son site notifiant la suspension des opérations Portes Ouvertes dans les établissements.

Les journées portes ouvertes, même organisées selon un système de prise de rendez-vous, conduisent à un brassage important de personnes et posent la question du respect de la distanciation physique. Compte tenu de l’apparition de nouveaux variants du SARS-CoV-2, elles sont, à ce stade, suspendues. Une organisation sous forme de visite virtuelle et de visio/audio conférence est à privilégier.

Pour organiser vos portes ouvertes à distance, plus d'infos, ici

Les évolutions du protocole sanitaire depuis la rentrée 2020

Le reconfinement entré en vigueur le 29 octobre maintient les écoles collèges et lycées -CPGE et BTS inclus- ouverts mais renforce le protocole sanitaire communiqué ci-contre et commenté dans la note 8 du Sgec. Mi-décembre, la note 12 apporte des précisions sur le cadre juridique du port du masque (et un document opposable en cas de contestation) ainsi que sur les campagnes de dépistage antigéniques pour lesquelles des cas de démarchages abusifs ont été constatés. La note 13 indique que les absences d'élèves des 17 et 18 décembre prochains visant à sécuriser le déconfinement familial de Noël doivent être tolérées.

A noter que le protocole peut être modifié par les autorités préfectorales, selon la situation locale. Dans ce cas, les instructions locales se substituent et/ou s’ajoutent alors au présent protocole. Il ménage aussi la possibilité d'organiser un enseignement à distance lorsque la situation sanitaire locale le justifie ou que les règles du protocole ne peuvent être respectées du fait de la taille ou de l'organisation d'une structure.

Le principe premier est toujours celui d’un accueil de tous les élèves, à tous les niveaux et sur l’ensemble du temps scolaire

L'obligation du port du masque est étendue aux élèves du primaire et le brassage entre élèves est limité, notamment à la cantine.
Les procédures de désinfection et de ventilation des locaux sont aussi intensifiées.
La conduite à tenir face à un cas de Covid avéré reste inchangée avec un seuil de fermeture de classe établi à partir de 3 cas dans une même classe.

L’accès des accompagnateurs aux bâtiments scolaires doit se limiter au strict nécessaire et se faire après nettoyage et désinfection des mains. Les accompagnateurs doivent porter un masque et respecter une distanciation physique d’au moins un mètre.

Des ajustements exceptionnels de l'organisation du baccalauréat ont été annoncés le 5 novembre par Jean-Michel Blanquer qui a aussi encouragé à faciliter l'enseignement distanciel en lycée pour des raisons sanitaire (avec maintien de 50% au moins de présentiel) :

  • annulation des évaluations communes de première et terminale
  • report de la certification numérique Pix
  • Maintien des épreuves des enseignements de spécialité , du 15 au 17 mars, avec un choix de sujet et une session de remplacement avancée à juin

Conditions de travail pour les personnes vulnérables
(décret du 10 novembre/ circulaire du 16 novembre)

Par le décret 2020-135 paru le 10 novembre 2020, le gouvernement a publié la liste des personnes considérées comme particulièrement vulnérables à la COVID 19. Cette liste s’établit ainsi :
Les salariés vulnérables sont ceux répondant aux deux critères cumulatifs suivants :

  1. Figurer dans la liste suivante :

a) Être âgé de 65 ans et plus ;
b) Avoir des antécédents (ATCD) cardio-vasculaires : hypertension artérielle compliquée (avec complications cardiaques, rénales et vasculo-cérébrales), ATCD d'accident vasculaire cérébral ou de coronaropathie, de chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;
c) Avoir un diabète non équilibré ou présentant des complications ;
d) Présenter une pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d'une infection virale : (broncho-pneumopathie obstructive, asthme sévère, fibrose pulmonaire, syndrome d'apnées du sommeil, mucoviscidose notamment) ;
e) Présenter une insuffisance rénale chronique dialysée ;
f) Être atteint de cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie) ;
g) Présenter une obésité (indice de masse corporelle (IMC) > 30 kgm2)
h) Être atteint d'une immunodépression congénitale ou acquise :
- médicamenteuse : chimiothérapie anticancéreuse, traitement immunosuppresseur, biothérapie et/ou corticothérapie à dose immunosuppressive ;
- infection à VIH non contrôlée ou avec des CD4 < 200/mm3 ;
- consécutive à une greffe d'organe solide ou de cellules souches hématopoïétiques ;
- liée à une hémopathie maligne en cours de traitement ;
i) Être atteint de cirrhose au stade B du score de Child Pugh au moins ;
j) Présenter un syndrome drépanocytaire majeur ou ayant un antécédent de splénectomie ;
k) Être au troisième trimestre de la grossesse ;
l) Être atteint d'une maladie du motoneurone, d'une myasthénie grave, de sclérose en plaques, de la maladie de Parkinson, de paralysie cérébrale, de quadriplégie ou hémiplégie, d'une tumeur maligne primitive cérébrale, d'une maladie cérébelleuse progressive ou d'une maladie rare ;
2. Ne pouvoir ni recourir totalement au télétravail, ni bénéficier des mesures de protection renforcées suivantes :
a) L'isolement du poste de travail, notamment par la mise à disposition d'un bureau individuel ou, à défaut, son aménagement, pour limiter au maximum le risque d'exposition, en particulier par l'adaptation des horaires ou la mise en place de protections matérielles ;
b) Le respect, sur le lieu de travail et en tout lieu fréquenté par la personne à l'occasion de son activité professionnelle, de gestes barrières renforcés : hygiène des mains renforcée, port systématique d'un masque de type chirurgical lorsque la distanciation physique ne peut être respectée ou en milieu clos, avec changement de ce masque au moins toutes les quatre heures et avant ce délai s'il est mouillé ou humide ;
c) L'absence ou la limitation du partage du poste de travail ;
d) Le nettoyage et la désinfection du poste de travail et des surfaces touchées par la personne au moins en début et en fin de poste, en particulier lorsque ce poste est partagé ;
e) Une adaptation des horaires d'arrivée et de départ et des éventuels autres déplacements professionnels, compte tenu des moyens de transport utilisés par la personne, afin d'y éviter les heures d'affluence ;
f) La mise à disposition par l'employeur de masques de type chirurgical en nombre suffisant pour couvrir les trajets entre le domicile et le lieu de travail lorsque la personne recourt à des moyens de transport collectifs.

Le décret dispose que :
« Sous réserve que les conditions de travail de l'intéressé ne répondent pas aux mesures de protection renforcées définies au 2° de l'article 1er du présent décret, le placement en position d'activité partielle est effectué à la demande du salarié et sur présentation à l'employeur d'un certificat établi par un médecin ».

Sur production d’un certificat médical les enseignants concernés doivent être placés en situation de télétravail et participent donc à l’organisation de la continuité pédagogique mise en place dans l’établissement.

Une circulaire de la DGRH du Ministère de l'Education Nationale en date du 16 novembre a précisé ces modalités en distinguant la procédure à suivre selon le niveau de l’établissement.

L’objectif de l’accueil des enfants en présentiel à l’école doit être poursuivi. En conséquence les enseignants ne pouvant, en raison de leur situation médicale, assurer leur enseignement peuvent être placés en autorisation spéciale d’absence par le recteur sur demande du chef d'établissement.

Le remplacement de l’enseignant peut alors être assuré par le recrutement d’un suppléant.

Une dotation budgétaire supplémentaire destinée à couvrir les besoins en suppléance d’ici la fin du mois de février vient d’être notifiée dans les académies.
Dans les établissements du second degré

Les enseignants ne pouvant, en raison de leur situation médicale, assurer leur enseignement en présentiel, assurent cet enseignement à distance.

Les élèves sont soit également à distance, dans le cadre de l’organisation permise, sur autorisation rectorale, dans les lycées, soit dans l’établissement sous la surveillance d’un personnel de l’établissement ou d’un personnel recruté temporairement à cet effet.

Un abondement exceptionnel du forfait d’Etat, au titre de l’année 2021, viendra couvrir, partiellement, cette dépense supplémentaire.

Précisions du 15/12

Précisions du 20/11

Les principales mesures du protocole en vigueur depuis novembre

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