Publié le : 22 novembre 2025

L’École catholique : l’autre service local d’éducation

Nos écoles, acteurs éducatifs engagés au cœur des territoires, contribuent, avec vous, à bâtir la fraternité et l’unité de notre société. „

Guillaume Prévost
Secrétaire général de l'Enseignement catholique

SE FAIRE CONFIANCE

Lareconnaissance mutuelle et le dialogue sont indispensables. L’école catholique est un partenaire libre et responsable, attaché à une forme d’« association » aux territoires, faite d’initiatives et de projets tangibles, au bénéfice de tous.

RENDRE LE TERRITOIRE ATTRACTIF

Avec son projet propre, l’école catholique élargit l’offre éducative du territoire et apporte
un service réel. Elle participe pleinement aux dynamiques locales et contribue à l’attractivité.

TRAVAILLER ENSEMBLE ET MUTUALISER

Les défis éducatifs invitent
à développer localement la culture du partenariat et à faire cause commune. De nombreux champs de coopération sont possibles : activités périscolaires, restauration scolaire, équipements sportifs et culturels, vie citoyenne, patriotique et internationale.

VIVRE ENSEMBLE

L’école est un puissant levier au service du lien social et de la fraternité. L’école catholique est une communauté éducative, composée de personnes différentes, ouverte sur son environnement social, économique, culturel, et soucieuse de son ancrage territorial.

RÉPONDRE AUX ATTENTES ÉDUCATIVES DES FAMILLES

La diversité scolaire répond à un besoin exprimé par les familles . Ouverte à toutes celles qui en choisissent librement le projet, sans aucune forme de discrimination d’origine, d’opinions ou de croyance, l’école catholique rend un service local d’éducation.

ÊTRE GARANTS DE L’ÉGALITÉ

Seuls les efforts combinés des pouvoirs publics et de l’école catholique peuvent créer les conditions concrètes de la mixité sociale et scolaire, avec le souci de l’équitésouci de l’équité entre les familles et entre les élèves.

ENGAGÉS ENSEMBLE

SOUTENIR L'ÉDUCATION DE TOUS

La commune finance le fonctionnement d’un établissement privé sous la forme d’un « forfait », qui correspond au coût d’un élève scolarisé dans l’école publique. Ce n’est pas une subvention, mais une dépense obligatoire, qui n’a pas d’impact sur les finances publiques.

Si le montant du forfait communal est sous-évalué, cela contrevient au principe d’égalité des citoyens.

Les familles de l’enseignement privé sous contrat ont droit à la gratuité de l’enseignement. Leur « contribution » ne doit porter que sur les investissements immobiliers et les dépenses relatives à la loi de séparation de l’Église et de l’État.

Quand les financements publics font défaut, la contribution des familles est accrue. Cela est inéquitable et fait obstacle à la mixité sociale.

Les mesures sociales des collectivités locales, puisque c’est possible, devraient bénéficier aux élèves, quelle que soit l’école qu’ils fréquentent : restauration scolaire, transports, services périscolaires, numériques, culturels, sportifs…

Si les familles se voient refuser dans l’enseignement privé les aides sociales des collectivités, elles subissent une discrimination

Les écoles catholiques ont un modèle économique transparent, dans le champ de l’économie mixte et de l’économie sociale et solidaire. Elles sont non lucratives, et soucieuses des dépenses publiques.

L’effort national pour un élève du privé est nettement inférieur à celui du public (5 000 € /an contre 8 500 €/an dans l’école publique, dans le primaire).

ENGAGÉS ENSEMBLE

FAIRE GRANDIR LES ÉLÈVES

L'École catholique partage avec les collectivités locales une ambition commune, au service de l'éducation. Pour favoriser la transmission, le déploiement des talents et la croissance humaine des élèves.

L'école ne vit pas hors sol. Dans un milieu de vie commun, tous les acteurs de la société y contribuent utilement.  Les écoles catholiques portent, à leur manière, dans vos territoires, une part de cette mission éducative.

VOS INTERLOCUTEURS

LE CHEF D'ÉTABLISSEMENT

a la charge pastorale, éducative, pédagogique, administrative et matérielle de l’établissement, en lien avec les acteurs de proximité et avec l’environnement territorial.

L'OGEC

(Organisme de gestion) a la responsabilité de la gestion économique, financière et sociale de l’établissement et emploie les personnels de droit privé.

L'APEL

(Association de parents d’élèves de l’enseignement libre) représente les parents d’élèves dans leur diversité et concourt à la reconnaissance par les pouvoirs publics de la liberté de choix de l’école.

LE DIRECTEUR DIOCÉSAIN

assure la coordination de l’ensemble des écoles catholiques de son territoire. Il travaille à la promotion de l’Enseignement catholique du diocèse et le représente auprès des autorités publiques

→ 7500 établissements

→ + de 2 000 000 d’élèves, étudiants, apprentis

→ Plus d’une famille sur deux fait le choix de l’Enseignement catholique pour l’un de ses enfants.

→ 137 500 enseignants

→ 85 800 salariés dans les établissements

→ + de 200 000 bénévoles

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